Programme IPv6 beta à Google

Google continue à déployer IPv6 en proposant un programme de beta-test aux sites intéressés :

http://www.google.com/ipv6 (merci Olivier)

Il vaut mieux bien lire les petits caractères en bas, tout de même, car ce n’est pas à laisser entre toutes les mains : il faut un réseau IPv6 de production, avec une assistance utilisateur correcte, car tout problème de connectivité IPv6 peut empêcher l’accès aux services de Google par les utilisateurs.

Mise à jour [merci à Sarah de m’avoir réveillé] : il semblerait que Free ait mordu à l’hameçon, leurs serveurs de noms résolvent correctement les adresses IPv6 pour www.google.fr par exemple :

;; QUESTION SECTION:
;www.google.fr.                 IN      AAAA

;; ANSWER SECTION:
www.google.fr.          69375   IN      CNAME   www.google.com.
www.google.com.         600963  IN      CNAME   www.l.google.com.
www.l.google.com.       219     IN      AAAA    2001:4860:0:1001::68

;; SERVER: 212.27.40.240#53(212.27.40.240)

(pas terrible la chaîne de CNAME…)

Ça ne marche pas chez moi car j’utilise mon propre serveur DNS, non référencé par Google. Cependant j’ai évidemment la connectivité IPv6 vers l’adresse indiquée.

Ban public

Les parcs de Paris sont fermés en période de neige (on pourrait glisser !).

Ils sont aussi fermés en cas de vent (des branches pourraient tomber !). Ce n’est pas rare en automne et en hiver, et cela n’a pas manqué d’étonner un ami portugais de passage à Paris pour Noël, qui n’avait jamais vu ça.

Les pelouses y sont mises en « repos d’hiver », c’est plus politiquement correct qu’« interdites » qui constituerait une véritable provocation (véridique, je l’ai entendu de deux gardiens discutant lorsqu’ils plaçaient lesdits panneaux cet automne).

Il ne reste plus qu’à les fermer au printemps (le pollen provoque des allergies) et en été (pénurie de personnel pour cause de vacances, comme sur certaines lignes de RER ayant vu leur trafic réduit pendant les fêtes de fin d’année).

Le jardin public idéal, c’est le jardin sans public, l’aboutissement ultime et logique du principe de précaution.

Et… bonne année 2009, au fait !