Me voici devant l’angoisse de la page (web) blanche, à tel point d’ailleurs que la version initiale de ce billet date de près d’un an. N’ayant rien trouvé à dire jusque là, je me suis contenté de ne pas ouvrir ce site inutile, l’espace libre sur Internet étant — comme chacun sait — de plus en plus compté.
En effet quand j’enlève :

• les choses qui n’intéressent personne, du moins pas assez de monde pour les étaler sur le web ;
• les choses que je ne veux pas dire ;
• mon nombril et sa périphérie, qui appartiennent suivant le cas à l’une ou l’autre des catégories précédentes.

les sujets deviennent tout de suite plus limités !

Je pourrai tout de même parler :

• de ce qui m’intéresse et que j’ai envie de partager ;
• de ce qui m’énerve ;
• de ce qui est à la mode, comme les mots barrés façon blog ;
• de ce qui se passe ailleurs, chez les gens qui ont quelque chose à dire.

Concernant le premier point, il se trouve que je suis à la fois malade de trains et d’informatique. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi un titre à double sens pour ce que je n’ose appeler un blog, mais qui risque d’y ressembler un peu. J’en profite pour préciser que je ne suis pas décidé à dire 5 choses que vous ignorez sur moi en signe d’allégeance à la blogosphère.
Bienvenue en tout cas à cette pendaison de crémaillère virtuelle. La crémaillère étant également, comme chacun sait, un mode de traction ferroviaire fort efficace en montagne.