Je viens de lire un article intéressant sur une société appelée Rapleaf, expliquant comment cette société exploite les traces informatiques que nous laissons un peu partout (notamment, mais pas seulement, sur Internet) et dont je parlais dans mes billets sur Facebook et le web history de Google. Rapleaf eux-mêmes donnent plus de détails dans un article tout récent de leur blog sur les méthodes qu’ils utilisent, rendu nécessaire par les réactions de panique de certains utilisateurs ciblés par leurs outils (50 millions à l’heure actuelle, quelques centaines de milliers supplémentaires chaque jour).
Point à noter : de la même manière que dans la fonction web history de Google, la tendance nouvelle (assez inattendue) est de laisser l’utilisateur accéder directement aux données le concernant… allez voir la page d’accueil de Rapleaf, c’est révélateur : c’est tout simplement une page de moteur de recherche d’e-mail.