…puis 1580 après un redémarrage, ce n’est pas parce qu’elle est en panne.
C’est parce qu’elle est posée à l’envers.
…puis 1580 après un redémarrage, ce n’est pas parce qu’elle est en panne.
C’est parce qu’elle est posée à l’envers.
Je viens de lire un article intéressant sur une société appelée Rapleaf, expliquant comment cette société exploite les traces informatiques que nous laissons un peu partout (notamment, mais pas seulement, sur Internet) et dont je parlais dans mes billets sur Facebook et le web history de Google. Rapleaf eux-mêmes donnent plus de détails dans un article tout récent de leur blog sur les méthodes qu’ils utilisent, rendu nécessaire par les réactions de panique de certains utilisateurs ciblés par leurs outils (50 millions à l’heure actuelle, quelques centaines de milliers supplémentaires chaque jour).
Point à noter : de la même manière que dans la fonction web history de Google, la tendance nouvelle (assez inattendue) est de laisser l’utilisateur accéder directement aux données le concernant… allez voir la page d’accueil de Rapleaf, c’est révélateur : c’est tout simplement une page de moteur de recherche d’e-mail.
Ayant un compte Gmail, dont l’utilisation nécessite l’activation des cookies sur le navigateur, je savais que par ce biais Google pouvait associer mes recherches web via google.fr ou google.com à mon compte Gmail, que ces recherches soient effectuées depuis chez moi, depuis mon travail ou depuis tout endroit d’où je me connecte sur mon compte Gmail.
Utilisant une extension affichant le PageRank (le « poids » sur Internet de la page en cours de consultation, évalué par Google, qui sert directement à classer les résultats des recherches), je savais également que pour obtenir cette information, mon navigateur fournit à Google toutes les adresses web que je visite (comme le font également les fonctions type “Find Related Pages” que proposent certaines extensions pour les navigateurs Mozilla et Opera). Et je savais donc que, comme les résultats de recherche, tout cela pouvait être relié à mon compte Gmail, et aux adresses IP que j’utilise.
Je me rassurais en me disant qu’il y a une nuance entre pouvoir faire et faire.
C’est l’ENST qui, le samedi 15 septembre, va accueillir les interventions européennes de Mozilla24, comme l’annonce Tristan Nitot sur son blog. Les autres sites sont au Japon (Tokyo), en Thaïlande (Bangkok) et aux USA (Palto-Alto, Californie).
Pour la petite histoire, la transmission vidéo sera assurée par le logiciel dvts. dvts encapsule la vidéo DV (le format des caméscopes numériques) pour l’envoyer en IP, dans notre cas de Paris au Japon, avec un débit conséquent : 30 Mb/s. Du Japon, tout cela sera remouliné dans des formats plus légers à destination des internautes.
De la visioconférence planétaire de super luxe, avec des intervenants de qualité !
(bannières ici, si vous voulez en parler sur votre site)
ATI vient d’annoncer la réouverture des spécifications techniques complètes de ses cartes 3D, ce qui devrait permettre d’avoir (à nouveau) des pilotes décents pour les utiliser avec x.org sous les différents Unix libres. Cette fois (cela n’a pas toujours été le cas), c’est Intel qui a lancé ce mouvement d’ouverture. On attend maintenant que nVidia daigne en faire autant…
Trois adresses intéressantes de journaux ferroviaires diffusés en format électronique sur Internet, mais en version « imprimable » (fichier PDF) plutôt que site web. Deux britanniques, un français :
Parfois, on apprend des choses en lisant les docs, notamment la section qui indique les nouveautés de la dernière version d’un logiciel.
En lisant celles d’Apache 2.2, je tombe ainsi sur l’extrait suivant :
Autrement dit, il serait possible de se débarrasser des ennuyeux https:// (sites sécurisés par SSL), en mettant tout en http:// et en laissant le serveur et le navigateur se débrouiller pour négocier tout ce qu’il faut, comme cela se fait déjà pour la plupart des autres protocoles (SMTP, LDAP, POP, IMAP…). Avantage supplémentaire, plus besoin d’avoir une adresse IP distincte pour chaque site https, une des grosses contraintes de SSL tel qu’il est utilisé actuellement. Un vieux rêve de webmaster.
Sauf que. En allant lire la documentation du module concerné, on est vite refroidi :
In Apache 2.1 and later,
SSLEngine
can be set tooptional
. This enables support for RFC 2817, Upgrading to TLS Within HTTP/1.1. At this time no web browsers support RFC 2817.
La RFC en question date de 2000. Il a donc fallu environ 7 ans pour que ce soit mis en oeuvre dans le serveur web le plus populaire. Reste à espérer qu’il ne faudra pas 7 ans de plus pour que ce soit intégré dans les navigateurs !
Il semblerait que ce soit prévu pour la version 3 de Firefox 🙂
C’est au sujet de brevets concernant les techniques utilisées par ZFS, l’une des meilleures choses sorties de Sun ces dernières années (et cela alors que ZFS a été intégré à FreeBSD 7 en avril).
Comme souvent dans ce genre de cas, il semble y avoir un jeu légal d’attaque/contre attaque : tu m’attaques en prétendant que j’ai violé un de tes brevets, je contre attaque sur un de mes brevets et on peut s’arranger à l’amiable après avoir dépensé N millions de dollars chez les avocats.
Le point de vue de Sun et celui de Brian Cantryll, un de leurs ingénieurs.
(via Padawan)
Free vient de communiquer certains détails de son offre “très haut débit” sur un site dédié.
Résumé rapide : FTTH (fibre jusqu’à l’abonné), 100 Mbps en descente, 50 Mbps en montée, pour le même prix que l’ADSL (29,99 € par mois).
Le site est assez complet, du contexte technique aux documents à remplir par le syndic d’immeuble. Apparemment, pas de clause d’exclusivité imposée et une ouverture aux opérateurs tiers.
Des choses sont moins claires : d’où sort la limitation de débit montant à 50 Mbps, quelles sont la couverture géographique et l’échéancier. « De nombreuses villes françaises », se contente de dire le site. On peut imaginer que l’ordre suivi sera à peu près équivalent à celui de leur dégroupage ADSL il y a quelques années, grandes agglomérations en premier.
Mise à jour : plus d’informations sur les zones couvertes dans les Ier, Ve, XVe, XIXe et XXe arrondissements de Paris ; dès la mi-septembre pour le XVe et XXe arrondissements.